Quelle posture pour les acteurs dans le processus de recherche?

[Fr:]Pour le savoir de l'éducation axées sur l’empowerment des familles, la recherche progresse grâce à la construction de significations partagées et la participation active des sujets (Cadei, 2010, Simeone 2008; Sità, 2005). Toutefois, des «dilemmes» sont également présents dans le processus de recherche qui vise à connaître et représenter l'histoire de la vie d'autrui. Les enjeux sont la capacité d'accéder à l'expérience des autres, la capacité à écouter la voix des sujets impliquées et à produire des connaissances. On peut observer que plusieurs décennies d'expérimentation de la recherche participative ne semblent pas avoir donné des résultats définitifs quant à la possibilité des sujets d’exprimer leurs avis. Cet orientations de la recherche s'est imposée rapidement comme une méthode d'enquête basée sur les « connaissances en action », la réflexion, l’interaction et, dans certains cas, elle à été présenté comme une sorte de panacée universelle face à la rigidité des pratiques classiques de l'enquête. Au-delà des outils utilisés dans le processus de recherche, voir des témoignages et des interviews ou des questionnaires, le doute persiste que les répondants adaptent leur langage sur la base des attentes de l'interlocuteur. Les résultats de la participation des famille au processus de la recherche sont incertaines, abstraits et vagues, et afin qu'elles puissent expérimenter la recherche telle qu’une expérience d'émancipation, il est important, que la recherche soit arrangée de manière à donner validité à la contribution de partenaires spécifiques, ce qui représente un processus visant à accroître la capacité d'exprimer leurs pensées et la descriptions de leurs expériences.